Posted by Flo (french one) on October 30, 2000 at 11:58
Mes mains fiévreuses, partirent sur ses fesses. Je lui plaquais le cul contre moi pour ne rien perdre de tout le liquide qu'elle déversait sur moi. Puis, je lui arrachais l'arrière de sa chemise bleu du pantalon et mes mains remontèrent le long de son dos. Nos bouches se séparèrent et elle inclina le buste en arrière. Mes mains toujours sous la chemise, trouvèrent leur chemin vers ses petits seins. Je trouvais, ses petits mamelons durcis par l'excitation. Je commençais à jouer avec et elle se laissait faire, les yeux mis-clos les bras tendus enlaçant mon cou le buste et la tête rejetés en arrière.
Le flot enfin fut tari. Après quelques instant, elle se redressât sur ses jambes échappant à mes doigts avides. Son pantalon autrefois violet, était maintenant mauve sombre. Une très grande tâche remontait dans les plis de l'aine très loin de part et d'autre des poches. Elle s'étendait vers le bas recouvrant une surface énorme jusqu'au sol. Elle pivotât sur elle-même me présentant son adorable petit cul qui lui aussi était copieusement arrosé. Quant à moi j'avais l'impression de sortir de mon bain. J'étais complètement trempée et mes pieds baignés dans une mare énorme.
Mei se retournant vers Martine lui dit
A toi maintenant montre-nous comment tu te comporte quant tu fais pipi dans ton pantalon.
Nous nous sommes approchées d'elle moi devant Mei derrière.
Martine debout entre nous deux s'adossât à Mei qui commençât à jouer sur le tissu de son chemisier blanc avec ses seins lourds. Je me mis à genoux devant elle. J'étais terriblement excitée. Ma chatte baignée dans ma culotte trempée. Je sentais mes sécrétions intimes s'ajoutais au liquide déjà reçu. Je dis à Martine
Vas-y par petites couches successives que nous en profitions bien. Je commençais à la caresser doucement sur l'intérieur des cuisses faisant courir mes mains sur le tissu ocre de son pantalon. Si se n'était la qualité du tissu, i'avais l'impression de la toucher à même la peau tellement son pantalon était serré. Une tâche ocre sombre fis son apparition entre ses cuisses et s'agrandie avec une lenteur majestueuse enveloppant comme une caresse ses cuisses rondes.
Arrête dis-je après un moment.
Oh non! Pourquoi ?
Retire ton chemisier que l'on puisse admirer tes seins.
Mei le lui ôtât avec dextérité avant qu'elle ne puisse protester. Elle lui dégrafât son soutient gorges libérant deux globes en forme de poire dont les pointes doucement auréolées de marron se terminées par deux tétons complètements dressés.
Je profitais de cet instant pour lui déboutonner rapidement son pantalon et essayais vainement de le descendre.
Mei vint à la rescousse et à nous deux, en riant comme des folles, nous sommes arrivées à la mettre quasi nue.
Je me relevais, et me collant à elle, je l'embrassais sur la bouche. Je sentais ses mamelons s'enfoncés dans ma poitrine. Elle réagit positivement à mon agression tandis que Mei prenant du recul, s'assit sur un siège et tout en nous regardant commentât à se donner du plaisir en se caressant sur le tissu fin de son pantalon.
Martine, libérant sa bouche, toujours dans sa petite culotte complètement mouillée me déshabillât en un clin d'œil. Je n'avais jamais vue une telle dextérité.
Complètement nue devant elle, mes vêtements réduits à l'état d'un petit paquet sur le sol, je me sentie encore plus nue tellement son regard parcourais mon anatomie comme une douce caresse.
Je frissonnais.
Tu es bien foutue ma vieille me dit-elle.
Elle me prit par les mains et m'emmenât vers la table. Elle s'assit sur le rebord et me dit.
Lèche-moi!
Je me mis à genoux devant elle. Elle écartât les jambes pour me donner accès à son puits de plaisir. J'écartais doucement sa culotte rendue transparente par son urine. Avec ma main gauche, je repoussais en arrière son opulente toison pour bien dégager son clitoris. Puis, je plaquais ma bouche contre les lèvres de son sexe et commençais à lui donner du plaisir. Elle me caressât les cheveux avec ses mains. Progressivement, elle frémit et se raidît sous les assauts répétés de ma langue experte. Au moment ou je la sentie sur le point de jouir, j'arrêtais brutalement mon office provoquant un râle de déception de sa part.
Non, non, continue s'il te plaît !
Je me remis à l'ouvrage et l'emmenais de nouveau au bord du plaisir.
Juste avant l'instant fatidique, je stoppais de nouveau.
Haaa! Non, non dit-elle encore, encore.
Une dernière fois je la repris en bouche et la conduisit rapidement là où elle souhaitait tant aller.
Elle se mit à gémir de plaisir et à fondre dans ma bouche en sécrétions salées.
Je me relevais. Elle me ceinturât immédiatement la taille avec ses jambes, me plaquant contre elle. Elle m'embrassât goulûment sur la bouche heureuse.de sentir sur sa langue le goût de ses propres fluides.
Je sentis soudain une chaleur énorme couvrir mon ventre, puis ruisseler sur mon sexe nu me provoquant des frissons de plaisir.
Elle faisait de nouveau pipi son sexe collé au mien par ses jambes serrées autour de ma taille.
J'entendis bientôt des petits gémissements de plaisir sur ma gauche.
Martine et moi, tournâmes la tête dans cette direction et nous vîmes Mei se tordre de plaisir sous ses propres caresses.
Elle n'avait pas résistée au spectacle que nous venions de lui offrir et la jouissance l'avait-elle aussi emportée sur un petit nuage.
Fin
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