Posted by Flo (french one) on October 26, 2000 at 13:05
Ma première expérience.
Je vais vous raconter aujourd’hui amis ondiniste, comment j’ai découvert le plaisir qui nous unis tous.
Il y à quelques années, j’étais en vacances linguistique en Angleterre (Séjour formidable puisque j’y ais découvert le pipi culotte, mais pas probant, pour apprendre la langue anglaise. Je suis toujours aussi nulle malgré de nombreux séjour et je m’en excuse auprès des gens ne parlant que l’anglais) Comme beaucoup, j’étais logée chez l’habitant. Pas des inconnus, non des gens qui connaissaient mes parents depuis longtemps.
Il y avait le père environ 40 ans à l’époque, la mère un peu plus jeune et le fils de famille, 16 ans à peine.
Le fils, que par commodité j’appellerais Bob, était donc plus jeune que moi de 2 ans. En arrivant dans cette famille, j’avais rapidement sympathisée avec lui. Notre relation était amusante car il parlait et comprenait le français aussi mal que moi l’anglais.
Les premiers jours nous fîmes connaissance et nos rapports furent rapidement basée sur les quiproquos de langue.
Bob dans l’ensemble, était un garçon assez timide, n’ayant manifestement pas l’habitude de côtoyer une fille de mon âge.
Nous habitions Bob et moi dans la maison voisine de ses parents. Cette maison avait appartenus de leur vivant aux grands-parents de Bob. Elle était composée comme toutes les maisons de la rue, d’un rez-de-chaussée et d’un étage. En bas, un séjour, une salle à manger et une cuisine. En haut deux chambres et la salle de bain avec WC.
Ce matin là, je me réveillais comme d’habitude avec une envie urgente de faire pipi. Je me levais, mis une petite culotte de couleur gris clair en coton, un tee-shirt, et pris la direction de la salle de bain sur la pointe des pieds pour ne pas réveiller Bob qui dormait dans la deuxième chambre. Arrivée devant la porte je tournais la poignée pour ouvrir mais là, contrairement à d’habitude, elle resta fermée.
J’insistais de nouveau mais rien à faire cette damnée porte refusait obstinément de s’ouvrir. Après plusieurs essais infructueux, je commençais à me dandiner d’un pied sur l’autre tellement mon envie d’uriner était forte.
Bon ma fille pas de panique !
Un : Les Wc sont inaccessibles.
Deux : j’ai une énorme envie.
Trois : Si je réveille Bob comment lui faire comprendre en anglais que je n’arrive pas à ouvrir et que j’ai une envie terrible de faire pipi.
Avec un mélange d’angoisse et de honte, je sentis un peu de pipi s’échapper malgré moi de mon sexe et mouiller ma petite culotte. Instinctivement, je mis ma main en forme de conque entre mes jambes en pressant fort sur mon sexe tout en serrant les cuisses très forts pour empêcher le pire d’arriver.
Là plus d’atermoiement il faut prendre une décision me dis-je.
Je fis un pas en avant dans le couloir en direction de la chambre de Bob. De nouveau, un peu de pipi sortie malgré moi de mon sexe, mouillant d’avantage ma petite culotte de coton.
Je me pétrifiais n’osant plus faire un mouvement au risque de perdre le contrôle de ma vessie.
Faiblement je dis :
Help please help Bob !
N’obtenant pas de réponse, je dis plus fort
Bob I need some help please!
Il dût entendre mon appel, car les ressorts de son lit grincèrent puis après quelques secondes qui me parurent interminable, sa porte s’ouvrit.
Bob dans un slip moulant à rayures, l’air tout ensommeillé, apparus dans l’entrebâillement de la porte et me voyant sautiller d’un pied sur l’autre, pliée en deux, les mains coincés entre mes cuisses, se figeât la bouche grande ouverte les yeux écarquillés par la surprise. Devant son air ahuri, je faillis éclater de rire.
Un nouveau jet d’urine directement dans ma culotte, me coinça mon rire dans la gorge, le transformant en une plainte.
Pleeeeaaase Bob help me je vais faire dans ma culotte, open this door please dis-je en mélangeant dans la panique le français et l’anglais.
Après un instant qui durât pour moi une éternité, il comprit la situation. Il s’approchât de moi et me dit à mon grand étonnement avec son drôle d’accent.
Do it. ! Faisez le Flo
La surprise me clouât sur place.
Quoi ! Ce petit mec voulait que je fasse pipi, debout, devant lui, dans ma culotte. Impensable !
No I can’t do that dis-je
Pourquoi non? Dit-il
Je restais silencieuse ne trouvant plus mes mots tellement j’étais estomaquée. Puis, le drame se produisit. Mes muscles ne pouvant plus longtemps contenir ma vessie, je me mis à pisser dans mes mains jointes sur mon sexe sans pouvoir m’arrêter. Au début, le liquide restât dans mes paumes puis, rapidement, il s’échappât, à ma grande honte, entre mes doigts puis le long de mes cuisses, ruisselant enfin sur mes mollets pour finir sa course folle dans une mare qui s’agrandit progressivement entre mes pieds. Je sanglotais de honte et de rage de ne pouvoir endiguer le flot. Bob vint à moi, me pris dans ses bras tout contre lui tendrement, en me disant du voie douce
Don’t cry baby don’t cry its nothing
Tout en continuant à me vider, je me recroquevillais en sanglotant sur le sol l’entraînant avec moi dans la mare qui prenait des proportions inquiétante. Une fois sur le sol, sans pouvoir m’arrêter, je continuais à pisser. A mon grand étonnement, la chaleur sous mes fesses trempées, la sensation de bien être ressentie au fur et a mesure que la pression diminuée dans mon ventre, le contact de la peau de Bob sur moi, commencèrent à me provoquer dans l’échine des frissons agréables. J’arrêtais de sangloter et tout en reniflant, j’ouvris les yeux. Stupéfaite, je vis le sexe de Bob complètement érigé, comme un mât de navire, sortant à moitié de sa culotte.
Instinctivement, ma main pris possession de sa verge et je commençais à le branler. En quelques secondes, il atteint l’orgasme et un jet de sperme sortis de son sexe.
A cette vue, je sentis ma chatte coulée. Je le lâchais, puis dans le même mouvement, ma main rentra dans ma culotte toute trempée de mon urine et maintenant de mes sécrétions féminines. Ma main atteignis son but et mes doigts agiles commencèrent leur folle sarabande sur mon clitoris qui ne demandé plus que ça. Pendant que je me donnais du plaisir devant lui, il me regardât avec passion. L’étrangeté de la situation, assise dans mon urine en train de me masturber devant un gamin plus jeune que moi, le plaisir qui m’avait envahit à la fin de mon envie de pisser, l’avoir fait jouir dans ma main si rapidement, tous ceci contribua à me faire aussi rapidement que lui, atteindre l’orgasme. Je sentis mes yeux se révulser, mes tétons devenir très dur, et la jouissance me transperça comme un coup de poignard. Je me mis à gémir comme une folle sous mes propres caresses et pendant quelques secondes le monde disparus à mes yeux.