Posted by Flo (french one) on October 26, 2000 at 03:11
En arrivant à la maison avec mes nouveaux amis, je leur offrit un apéritif car il était prés de midi. Puis, comme d’habitude, j’allais dans le bureau pour voir si j’avais des messages. Le voyant du répondeur clignoté m’indiquant qu’un message était en attente. Je l’écoutais. Mon mec me disait qu’il ne rentrerait pas avant le lendemain en fin de journée car avec ses copains ils avaient décidés d’aller voir des gens dans l’arrière pays niçois.
Je rejoignis Sylvie et son mec dans le salon.
Si vous voulez prendre une douche, c’est au fond du couloir dis-je.
Moi je veux bien dit-il. Il se leva et partis prendre sa douche.
Nous restâmes Sylvie et moi à discuter.
Dix minutes après, il revint frais comme un gardon, et nous dis :
A vous les filles !
Nous nous levâmes Sylvie et moi et nous partîmes vers dans la salle de bain.
Après avoir fermé la porte, Je me retournais, et me trouvais nez à nez avec elle.
Elle me regardât dans les yeux un instant, puis m’enlaçât. Nos bouches vinrent au contact et nous nous embrassâmes goulûment.
Je sentais son corps frémir contre le mien. Ma chatte devint rapidement humide tandis que mes tétons se raidissaient. Nous nous déshabillâmes mutuellement en nous caressant. Enfin nues, titubant toutes les deux, nous sommes rentrées sous la douche. Elle ouvrit le robinet et l’eau tiède commença à couler. Elle s’agenouillât devant moi et entreprit de me brouter la chatte tout en me titillant un sein. Ma jouissance fut rapide totale. Je me mis en position pour lui rendre la pareille. Son sexe entièrement épilé me permis d’attraper son clitoris facilement.
Sous ma langue avide il grossit rapidement. Soudain, elle se crispa, et je sentis sur ma langue les saveurs de ses flux intimes.
Quelques instants plus tard, je me relevais et découvris avec stupeur son mec en train de nous regarder à travers la vitre ruisselante de la douche, son sexe roide de désir à la main.
Je lui sourie et lui dis :
Belle queue mon neveu !
Eclatant de rire, il rentra l’instrument dans sa culotte.
Sylvie, ayant repris ses esprits me dit :
J’ai une faim de louve ! Si nous mangions quelques chose ? Je peux t’aider à faire la cuisine….
D’accord dis-je allons-y
Après avoir préparer le repas, nous passâmes à table. J’avais sorti des bonnes bouteilles et nous arrosâmes copieusement le repas tout en discutant de tout et de rien.
Après le dessert, légèrement éméchés, nous sommes allés dans le patio prendre un café. La maison, borde le patio sur trois côtés le quatrième étant aveuglé par le mur nous séparant du monde extérieur. Au milieu du patio, un petit bassin avec un jet d’eau assure un peu de fraîcheur. Les libations prolongées plus le bruit du jet d’eau me donnèrent rapidement envie de faire pipi.
Je commençais à me tortiller, sur mon transat, pour ne plus sentir la pression sur ma vessie.
Je remarquais que Sylvie faisait de même.
Bien me dis-je, elle à envie de faire elle aussi.
En souriant je lui dis :
Sylvie j’ai l’impression que nous avons le même problème !
Elle me dit :
Oui il faut que je fasse et vite.
Son mec intervenant dans la conversation nous dit :
Hé ! Les filles si vous faisiez le concours de celle qui se retient le plus longtemps ?
Après nous être consultées du regard un bref instant, nous répondîmes en cœur
Bonne idée on essaye.
Pour que ça soit plus intéressant, il faudrait vous lever dit-il.
D’accord dis-je. Je vais même mettre un fond de musique et nous allons danser pour toi mon grand.
Je vis à son regard que la proposition lui convenait.
Après avoir mis en route la chaîne stéréo, je choisis un cd audio contenant que des slows bien langoureux. Sylvie est moi, serré dans les bras l’une de l’autre, évoluions lentement. Soudain, cette petite garce, m’attirât violemment contre elle de son bras gauche dans le creux de mes reins. Ma vessie brutalement comprimée, me forçat à lâcher un bref jet de pipi dans ma petite culotte en satin blanc. Mais je parvins à me contenir et les dégâts se limitèrent à mon sous-vêtement.
Tu ma fait mouillé ma petite culotte lui dis-je
Elle rigola et dit :
Un zéro
Son mec se déplaça et vint se mettre à genoux assis tout près de nous.
J’ai un bien meilleur point de vue comme çà dit-il.
En effet, à partir de sa nouvelle position, sa tête n’était pas a plus de 50 centimètres de nos sexes respectifs.
Nous dansions maintenant quasiment sur place. Je profitais traîtreusement d’un moment d’inattention de sa par, pour la chatouiller à la taille. Elle commenças à se tortiller en riant mais je la tenais fermement de mon autre bras. Entre de hoquet de rire, elle dit
Stop, j’ai fais moi aussi dans mon jeans.
Tout en la tenant par les mains, je m’écartais d’elle et regardais avec intérêt son entre jambe. Une large auréole sombre et luisante, ornée ses deux cuisses s’arrêtant à mi-hauteur entre son sexe et ses genoux puis remontant légèrement sur le devant.
J’ai juste fais un peu dit-elle, mais comme je n’ai pas de petite culotte, le jeans prend tout directement.
Un à un dit son mec dont le sexe tendais maintenant la toile de son pantalon prouvant que le spectacle ne le laissé pas indifférent.
Voyant ou mon regard se posé, il déboutonna lentement son pantalon puis repoussant son slip vers le bas, sorti son pénis gonflé et commença sans me perdre du regard à se donner du plaisir.
Sylvie, profitant de mon inattention, se mis-elle aussi à me chatouiller d’une main tout en me maintenant prisonnière de l’autre.
Je suis horriblement sensible aux chatouilles. Je me mis à rire violemment et perdant le contrôle de ma vessie, je m’inondais copieusement.
Sylvie, voyant cela, arrêta sa torture et pris du recul pour constater les dommages.
Ouuuiii dit-elle, regarde-moi ça !
Je penchais la tête et vis une large zone de mon pantalon qui avait changé de couleur. Cette zone, partant d’environ cinq centimètres au-dessus de mon sexe, allait jusqu’à mes genoux. Passant mes mains à plat sur mon petit cul, je sentis l’humidité qui remonté le long de ma raie jusqu’à mi-hauteur.