Posted by francois on October 24, 2000 at 01:22
L'été de mes 19 ans je partis en vacances dans la résidence secondaire des parents de mon amie de toujours Isabelle située dans le sud de la France. Nous avions passé tous les deux notre enfance ensemble, à l'école aussi bien que pendant nos congés scolaires car nos parents étaient très liés. Les hasards de la vie avaient éloigné géographiquement nos deux familles et depuis cinq longues années je ne l'avais pas revu. Sa présence me manquait et pour ne pas rompre nos liens nous entretenions une correspondance régulière Isa et moi. Mais un courrier ne peut pas remplacer une présence ni des émotions et des expériences communes. Dans le train qui m'emmenait à destination, je me demandais quelle jeune fille j'allais découvrir après une si longue séparation. Après avoir changé de train 3 fois, j'arrivais dans la petite gare de la ville de province ou elle résidait. En descendant sur le quai je la vis tout de suite. Je m'approchais d'elle, elle me fit un grand sourire est me sauta au cou. Nous nous embrassâmes à n'en plus finir, heureux de nous retrouver. Mille souvenirs envahissaient ma mémoire. Nos jeux, nos rêves, nos discussions à n'en plus finir tout me revenait brutalement à l'esprit noyant d'un coup ses années de séparation. Je vis sur son visage qu'elle aussi suivait le même cheminement intellectuel que moi. Ses yeux se voilèrent un instant et elle me dit. Oh François c'est si bon de te revoir !
Prenant du recul tout en la tenant à deux mains, je la regardais tendrement. Dire que j'avais quitté une adolescente et que je retrouvais une jeune femme d'environ 1,70 mètres avec de grands yeux noisette, les lèvres pleines, bien dessinées, le visage ovale encadré par de longs cheveux châtains descendant jusque sous les fesses. Ces jambes longues et fuselées étaient avantageusement mises en valeur par un caleçon en coton blanc. Sa poitrine arrogante tendait le tissu de sa chemise en toile de jeans nouée sur son ventre plat.
J'ai changée non ? Me dit-elle en faisant une pirouette sur elle-même me révélant au passage une paire de fesses ronde est fermes à faire se damner un saint.
Oui, tu es merveilleuse petit canard. Dis-je en souriant.
Elle rigolât à l'évocation du surnom que je lui avais donné quand nous étions enfant.
Tout en discutant nous sortîmes de la gare pour rejoindre sa voiture. Après avoir fait quelques kilomètres à travers la campagne, nous fûmes à destination. Elle m'aida à m'installer dans une chambre puis le reste de la journée s'écoula tranquillement. Pendant une semaine entière nous avons partagé notre temps entre la plage et les fêtes ou les dancings. En quelques jours, une nouvelle complicité naquit entre nous. Nos relations étaient toutefois devenues différentes de celles qui nous unissaient à mon départ. Nous étions presque frère et sœur enfants et soudain nous nous retrouvions jeunes adultes. Je voyais aux regards qu'elle me lançait de temps en temps qu'elle aussi sentait une différence. Le soir quand nous dansions le slow, le contact de son corps collé au mien, me provoquait une réaction toute masculine. La première fois qu'elle s'en aperçu, elle s'écartât légèrement, me regardât drôlement un instant puis en souriant, elle se colla de nouveau contre moi.
Une autrefois, à la sortie d'une boite, nous décidâmes d'aller sur le front de mer. Frissonnants tous les deux au bout de la jetée, je la pris dans mes bras. Elle me regardât intensément, puis comme attirés par une force invisible, nos lèvres s'unirent dans un premier et long baiser d'adulte.
Le jour suivant, nous étions depuis 2 heures environ sur la plage, j'étais allongé à plat ventre sur ma serviette de bain, Isabelle assise devant moi à même le sable, lisait un livre policier de la série noire. Dans cette position et a si peu de distance, mon regard tombait juste sur son entrejambe moulé par un bikini en lycra rose fluo mettant en valeur le bronzage de ses cuisses. Devant ce spectacle mon esprit vagabondait. Le mince rempart de tissu ne pouvait m'empêcher d'imaginer les secrets qu'elle ne m'avait jamais dévoilés depuis qu'elle était femme. Mon regard fut soudain attiré par une tâche plus sombre qui apparu et s'étendit progressivement à l'emplacement ou quelques secondes auparavant mes fantasmes m'avaient emmené. Non, je rêvais encore ! Ce n'était pas possible ! Elle était en train de se soulager dans sa culotte de bain, devant moi. Mon regard fiévreux ne pouvait se détourner de ce spectacle. Le lycra de son bikini, gonflé par la poussée du chaud liquide ne pouvant contenir plus longtemps ce flot, le laissa s'écoulé dans une petite mare qui se forma entre ses cuisses pendant un bref instant puis disparut dans le sable. Je levais les yeux sur ma camarade d'enfance qui continuait sa lecture, imperturbablement. Je regardais alentour pour voir si personne n'avait remarqué la chose. A priori non, j'étais le seul à l'avoir vu. Elle s'allongea lentement sur le dos en continuant de lire comme si de rien n'était. Dans cette nouvelle position, je pouvais maintenant voir toute la zone comprise entre son pubis et ses fesses. Pendant un instant rien ne se passa puis le maillot se tendis de nouveau légèrement et simultanément la tache sombre augmenta en direction de ses fesses. Enfin le flux sorti du tissu qui ne pouvait plus l'absorber et s'écoula sur le sol ou il disparut de nouveau bu immédiatement par le sable. A cette vue je sentis mon sexe grossir et se durcir à tel point que je fus obligé de bouger pour alléger le poids de mon corps sur cette partie de mon anatomie. Isabelle continua son petit manège en se libérant par saccades successives. Quand elle eut fini, elle se remit sur son séant sans pour autant abandonner son livre. Je fis celui qui n'avait rien vu mais il me fallut attendre longtemps avant que ma virilité ne reprenne sa position de repos et que je me calme. Entre moi je m'interrogeais. Elle avait du le faire exprès ce n'était pas explicable autrement. Pourtant, cela ne concordait pas avec son attitude habituelle. Ma réaction physique devant cette situation me surprenait aussi. Je ne pensais pas qu'il pût être aussi excitant de voir une fille s'abandonner dans sa culotte. Plus tard dans l'après-midi un nouvel incident du même genre me fis comprendre que celui du matin n'était peut être pas fortuit. Nous étions dans l'eau jusqu'aux genoux, mais nous hésitions à aller plus loin, car la mer semblait très froide après notre longue exposition au soleil. D'autres baigneurs nous entourés. Tout en discutant, Isabelle, se mit face à moi, les jambes légèrement écartées, me regardant droit dans les yeux elle fit de nouveau ce que mère nature nous oblige à faire régulièrement. Son bikini changea de couleur instantanément entre ses cuisses et son urine coulas sur la face interne de ses jambes bronzées. Je fus obligé malgré la sensation de fraîcheur, de m'accroupir rapidement dans l'eau pour cacher l'érection quasi instantanée qui s'ensuivit. Mon regard resta rivés sur son entre cuisses, comme hypnotisé, pendant toute la durée de l'opération.
Vers 19h30 je me mis debout et après m'être enveloppé de ma serviette je retirais mon maillot et remis mon slip ainsi que mon jeans. Isabelle fis de même de son coté et nous priment le chemin du retour. Une partie du trajet à pied nous faisaient passer dans une zone de grandes dunes déserte à cette heure de la journée. En effet les gens venaient sur cette plage essentiellement en voiture par la route. Arrivés en bas de la dune la plus haute de notre parcours, invisible depuis la route ou depuis la mer, Isa s'arrêtât et me fit face.
Dis-moi, quel effet cela t'a fait de me voir faire pipi dans ma culotte ? me dit-elle
Je restais interloqué par une question aussi directe, mais je répondis après un instant de réflexion, sans m'esquiver.
Eh bien ça m'a excité, tu sais !
J'ai crû le remarquer ce matin quand tu ne savais plus quelle position prendre sur ta serviette me dit-elle hilare. As-tu déjà essayé de faire pipi dans tes vêtements François ?
Non, jamais cela ne m'est venu à l'idée répondis-je pourquoi ?
C'est très bon tu sais me dit-elle surtout quand tu en as très envie. Dans ce cas tu fais progressivement sans te presser par petit à coup successif en marquant une pause entre chacun.
Tu veux bien essayer pour moi ? S'il te plait ! Je n'aie jamais vu un garçon faire ça et j'ai envie de savoir si çà me fait autant d'effet que quand je fais sur moi.
J'hésitais un instant, puis, je lui dis
D'accord mais pour te faire plaisir mon Isabelle.
Je me concentrais mais rien ne vint. Pourtant j'en avais très envi car depuis le début de l'après-midi je n'avais pas fais tout en buvant beaucoup pour éviter de me déshydrater. Devant mon désarroi, elle me dit.
Décontracte-toi, le plus dur c'est la première fois. Il te faut vaincre le tabou imposé depuis notre enfance par notre éducation. Pense à autre chose et tu verras cela va venir tout seul.
Effectivement au bout de quelques minutes, je sentis une douce chaleur envahir mon sexe quand l'urine commença à se répandre à l'intérieur de ma culotte. Je baissais les yeux pour observer avec intérêt la tâche sombre qui apparu au bout d'un instant sur le devant de mon jeans. Quand je relevais la tête, je la vis à ma grande surprise toujours debout face à moi, défaire les trois premier boutons de son jeans puis glisser une main fébrile dans l'échancrure ainsi crée. Ses yeux écarquillés aller de mon ventre à ma figure pendant que sa main s'agitée dans son pantalon comme si elle était douée d'une vie propre. Suivant son conseil, je fis très progressivement en marquant un arrêt entre deux jets de manière à faire durée le plus longtemps possible le plaisir qui à ma grande surprise m'envahissait. La tâche s'élargissait lentement sur mon pantalon descendant le long de mes cuisses m'enveloppant d'une douce sensation de chaleur et de bien être. Sa main maintenant atteinte de frénésie, s'activait à l'intérieur de son blue-jean. Soudain elle se cambra en avant, ses jambes se raidirent, ses yeux et sa tête chavirèrent, un râle de plaisir sortit de sa bouche puis elle s'écroulât à genoux devant moi les jambes coupées par l'orgasme. J'avais fini maintenant et je m'assis face à elle dans mes vêtements mouillés. Elle haletait et avait du mal à reprendre ses esprits.
Oh ! C'est génial ! Te voir faire devant moi, pour moi, ma terriblement excitée au moins autant que quand je m'abandonne dans mes vêtements dit-elle les yeux encore embués de plaisir.
Pour moi, je ne sais pas ce qui me fait le plus de bien, dis-je. Faire pipi dans mon pantalon ou celui de te voir te caresser ! En attendant, tu ma donné envi de le faire à mon tour.
Elle sourit tendit les bras vers moi et dit. Viens embrasse-moi. Je m'exécutais avec plaisir.
Son baiser, le souvenir de ses caresses devant moi, le chaud liquide autour de moi, l'étrangeté de la situation, m'avait provoqué une érection spectaculaire qui ne baissée pas d'intensité.
Faisons l'inverse maintenant si tu veux. Me dit Isabelle
Elle se remit debout légèrement en contrebas par rapport à moi, me permettant d'avoir son abdomen à moins de 80cm de mon visage. J'ouvris rapidement mon jeans et sortis devant elle mon sexe raide de désir. Ma main commença un mouvement de haut en bas rapide tandis que devant mes yeux écarquillés elle se laissait aller. Rapidement la toile de son pantalon absorba le liquide le transformant en une large tâche sombre qui s'élargit progressivement vers le bas emportés par les lois de la pesanteur. Puis la toile ne pouvant plus le retenir, le surplus coulât entre les doigts de sa main droite qu'elle avait posée en conque autour de son sexe pour retenir la chaleur le plus longtemps possible, arrosant le sable à ses pieds. Je ne pus me retenir très longtemps tellement j'étais excité. La jouissance m'emporta violemment. Isabelle se rassit devant moi et finis de se soulager dans cette position. Après avoir repris mon souffle, je me mis debout et retirais mon jeans et ma culotte. Entièrement nu devant elle comme quand nous étions enfant et que nous partagions la même baignoire. Elle m'observait les yeux mi-clos. Je m'essuyais avec ma serviette de bain lentement puis remis mon maillot. Je me rassis. Isabelle se leva à son tour, et fis un nœud avec le bas de son tee-shirt révélant ainsi son nombril. Ensuite, elle déboutonnât son jeans et rejetant les fesses en arrière, elle le fit glisser en oscillant de la groupe comme le font toutes les femmes qui retirent un pantalon trop serré. Après l'avoir roulé en boule, elle le mit avec mes affaires dans le sac de plage. Elle se redressât et fis tranquillement un chignon avec ses cheveux me présentant ainsi son ventre plat et sa petite culotte en coton rouge foncé qui malheureusement de par sa texture n'était pas devenue suffisamment transparente malgré son humidité pour que je puisse voir son mont de vénus. Elle glissa ensuite ses pouces sous l'élastique du sous-vêtement, de par et d'autres de ses hanches et le fit descendre lentement vers le sol en se pliant en avant de telle sorte que son tronc me masqué le bas de son corps. Quand elle se redressa, lentement la culotte à la main, je vis avec surprise que son sexe été entièrement épilé. Elle resta un moment immobile, vivante silhouette de la femme naturelle maîtresse de son corps, me laissant ainsi le temps d'assouvir mon regard.
Comment me trouve-tu ?
Très jolie, ton sexe épilé de donne un look de petite fille perverse.
Elle éclatât de rire puis pris le bas de son bikini fluo dans le sac de plage est le mis. Nous reprîmes le chemin du retour en nous tenant tendrement par la main, les doigts enlacés, sans prononcer une parole pendant plusieurs minutes.
Sans indiscrétion, comment as-tu eus l'idée de faire pipi dans tes vêtements ?
C'est toute une histoire me dit-elle. Il y à trois ans environ, j'étais chez mon amie Carole, tu sais la fille rousse aux yeux verts que tu as vu à la fête l'autre soir. Ces parents étaient en voyage d'affaires à Paris et nous étions tranquillement assises par terre devant la télé. A la fin du film qui était d'ailleurs très long, Carole c'est soudain levée en me disant 'Je vais faire pipi il y à urgence'. Quelques minutes plus tard elle était de retour le visage contrarié.
Isabelle me dit-elle en se mettant devant moi, aide-moi vite s'il te plait ma fermeture éclair est coincée et je ne peux pas retirer mon pantalon.
Je me mis à genoux devant elle, pris dans ma main gauche le haut du pantalon, et de la droite je tirais sur la fermeture de toutes mes forces. Après quelques minutes de bagarre la fermeture n'avait pas bougée d'un pouce. Carole quant à elle se dandinait d'un pied sur l'autre les cuisses serrées.
Arrête lui dis-je si tu bouge tout le temps je n'y arriverais pas !
Ce n'est pas de ma faute, j'ai très envies de faire, je t'en supplie vite !
Je réessayais de nouveau plus violemment.
Carole éclatât en sanglot en disant 'Oh la honte ! Je viens de mouiller ma petite culotte ! Vite dépêche-toi.
Je tirais de toutes mes forces et la fermeture descendit d'environ 2 centimètres.
Vas y essaye de le descendre maintenant !
Carole pris son pantalon de chaque cotée de sa taille et tira frénétiquement dessus vers le bas en roulant des fesses de toutes ses forces. Rien à faire ! Les hanches empêchées la descente du vêtement.
Soudain elle s'arrêtât de remuer émis un sanglot et dit 'Non, ce n'est pas vrai je suis en train de faire dans ma culotte'. En effet je vis une tâche sombre s'agrandir rapidement entre ses cuisses. Bientôt une mare se forma autour de ses pieds. En relevant les yeux, je vis en un instant le visage crispé de Carole, se détendre puis un sourire béat entre ouvrit ses lèvres tandis qu'un gémissement de plaisir sortait de sa bouche. Instinctivement, je tendis la main et la mis à plat à l'intérieur de sa cuisse gauche juste en dessous de son sexe. Je sentis le chaud liquide s'écoulé sous le tissu le long de sa jambe. Brusquement, un jet chaud sortie du pantalon gorgé au-dessus de ma main, et me la mouillât ainsi que mon avant bras. La mare sur le sol allait en s'agrandissant. Etant à genoux, le bas de mon pantalon fus rapidement trempé. Une douce sensation d'excitation m'envahit. Carole arrêta enfin puis ouvris ses yeux encore embués de larmes de honte.
Oh ! J'en pouvais plus ! Puis après un silence. Excuse-moi Isa me dit-elle en me regardant l'air consterné. Elle marquât une nouvelle pause et rajoutât. C'est curieux, avant que ca parte j'avais très honte de moi puis pendant, ca à était un plaisir immense. C'est chaud et agréable quand ca coule le long des jambes.
Non ! Dis-je surprise ce n'est pas vrai ?
Je me relevais, Carole en voyant le bas de mon pantalon, s'exclamât. Oh ! Excuse-moi encore Isabelle je t'ai toute mouillée.
Ce n'est rien lui dis-je. Je réfléchis un instant et je rajoutais : Bon, mouillée pour mouillée je vais essayer comme toi !
Elle éclatât de rire à ma proposition puis avec un sourire malicieux me dit
Vas-y si tu veux.
Je me concentrais puis commencée de faire. Le tissu de mon pantalon était vraiment fin et le jet coulât directement par terre. A cette vue Carole posa sa main en forme de conque sur mon sexe retenant ainsi le liquide qui se répandis instantanément de par et d'autre de ses doigts le long de mes deux cuisses. Je trouvais la sensation extraordinaire. Je sentis une douce chaleur m'envahir tandis que ma peau devenait comme électrique, sensible, au moindre frottement. Instinctivement je fis un mouvement avec mon bassin d'avant en arrière de manière à ce que mon clitoris frotte sur le tissu de ma culotte et sur les doigts de Carole. Surprise, elle ne retirât pourtant pas sa main, accentuant même la pression. Avant d'avoir finis de faire j'eu un orgasme violent et je fus obligée de me cramponner à Carole pour ne pas tomber. Quand je rouvris les yeux, elle me souriait. Elle retirât sa main et nous partîmes prendre une bonne douche ensemble.
Isabelle marqua une pause. Depuis ce jour, je fais pipi dans ma culotte et je me caresse, de temps en temps, seule ou avec Carole qui elle aussi à recommencer l'expérience mais volontairement cette fois. Aujourd'hui, tu vois c'est vraiment la première fois que je fais ça dehors et en plus devant un garçon. Nous continuâmes notre marche silencieusement mais je la sentais tendue hésitante. Enfin, comme si elle avait pris une grande décision elle soupirât et rajoutât.
Tu sais François, j'ai aussi fait une fois l'amour avec garçon. Une fois une seule. Mais ou je n'étais pas prête ou il s'y est mal pris, en touts cas je n'ai éprouvé aucun plaisir avec lui.
Cette révélation me secoua. Non je n'étais pas jaloux. Mais j'avais la sensation que j'avais par mon éloignement loupé quelque chose d'important. D'un autre coté, cette expérience particulière, hors du commun que je venais d'avoir avec elle, me donnait l'impression que de nouveaux liens se tissés entre nous. Des liens étroits, profond, durable qui semblait vouloir recouvrir et remplacer ceux de notre enfance.
A quelques temps de cette journée mémorable, nous prenions sur la terrasse le petit déjeuner. Isabelle, moulée dans son caleçon blanc du premier jour, avec sur le torse un bustier jaune très court, mettant en valeur ses tétons qui paraissaient vouloir crevés le tissu, était assise sur un transat recouvert d'un matelas en mousse. Elle avait les jambes allongées devant elle le dos tourné au verre cathédrale qui séparé notre terrasse de celle de l'appartement contigu. Nous buvions lentement notre café, en pouffant discrètement de rire en entendant la conversation sur les problèmes conjugaux des voisins qui eu aussi petit déjeunés sur leur terrasse. J'étais assis sur une chaise en face d'elle vêtus d'un tee-shirt et d'un maillot de bain. Elle reposât sa tasse de café maintenant vide sur le guéridon a coté d'elle puis me faisant un clin d'œil déluré elle me dit doucement.
François regarde moi ? .
Je l'observais attentivement. Elle écartât lentement les cuisses me dévoilant pleinement son entrejambes puis posa ses mains de part et d'autre Pendant un instant rien ne se passa. Je vis soudain avec stupéfaction une large tâche faire son apparition à l'emplacement de son sexe tandis que son caleçon devenait instantanément transparent me révélant l'absence de sous-vêtements. Immédiatement, j'eus une érection. Etre sur une terrasse avec une fille provocante prenant manifestement du plaisir à faire volontairement dans ses vêtements devant moi, tout en étant séparé de voisins inconnus ne se doutant de rien que par un mince panneau de verre il y à de quoi perdre son contrôle. Devant cette situation, je me levais et mettant ma main dans mon maillot je me mis à me caresser devant elle.
Déshabille-toi ! Je veux te le voir faire complètement nu. Je m'exécutais rapidement puis repris ma masturbation. Elle avait maintenant finie de se relâcher. Sans me perdre du regard, elle pris sa poitrine à pleines mains et commença à se donner du plaisir. Ses doigts avaient saisi sur le tissu la pointe de ses seins. Elle les pinçait violemment et les tournait comme des boutons d'un poste de radio. J'étais comme un fou, ma main volé sur mon sexe, j'avais les yeux rivés sur elle épiant ses moindres gestes, ses moindres mimiques de plaisir. Tandis que sa main droite continuait son travail, sa main gauche avait abandonnée son sein pour venir se réfugier au creux de ses jambes. Je voyais ses doigts aller et venir rapidement sur le tissu trempé par son urine et maintenant mouillé par ses sécrétions féminines. Rapidement à ce petit jeu, elle perdit tout contrôle. Ses jambes se raidirent ses yeux se fermèrent son corps fut saisi de tremblements convulsifs tandis quelle retenait ses râles pour ne pas attirer l'attention des voisins. Je ne pus résister moi non plus à cet état de chose et la rejoignit dans le plaisir.
Après cette matinée torride, nous sommes restés sage pendant tout le week-end car ses parents sont venus nous rejoindre. Mais, dés le début de semaine, une fois qu'ils furent partis, elle recommençât ses jeux pervers auquel ma foi je participais bien volontiers.
Ce soir j'ai invité Carole et Emy pour le repas me dit-elle.
Qui est Emy ? dis-je
Oh ! C'est une superbe antillaise, copine de classe de Carole.
Le soir venu, en rentrant de la plage, je pris rapidement une douche et je mis des vêtements propres. J'allais dans la cuisine pour finir les préparatifs de notre petite soirée pendant ce temps Isabelle partis sous la douche à son tour.
Soudain la sonnerie retentie. J'allais ouvrir et me trouvais devant deux filles souriantes. L'une, Carole de taille moyenne, que je connaissais de vue et par l'histoire que m'avais racontée Isabelle était vêtue d'un ensemble de couleur bleu sombre à pois blanc. Le haut tenu par un cordon de tissus attaché derrière le cou, recouvrait sa poitrine, laissant ses bras nus constellés, comme son visage, de tâches de rousseur la faisant ressembler à un léopard. Le bas, bouffant et ample était serré à la taille par un élastique. Elle avait un collier fantaisie mettant en valeur son cou. Sa peau lisse de rousse était légèrement dorée. C'est cheveux rouges étaient ramenés en chignon rapidement fait sur le sommet de sa tête. Emy, sa peau noire, mise en évidence par une mini jupe extra courte blanche et un tee-shirt moulant de même couleur, avait des sandales dont les lacets entouraient ses chevilles en de gracieuses arabesques. Elle était à peu prés de la même taille que mon amie Isabelle mais d'une allure beaucoup plus sauvage peut-être due sa manière d'évoluer.
Bonjour les filles je suis François l'ami d'enfance d'Isabelle.
Moi c'est Carole et moi Emy.
Après avoir fait les présentations je les conduisis au salon et les fis asseoir. Je prévins Isa sous sa douche que ses copines étaient là.
Nous eûmes le temps de boire un apéritif et de faire amplement connaissance avant qu'elle ne nous rejoigne. Elle était vêtue d'une robe courte en lycra noir brillant. Un collier en acier cerné son cou mettant en valeur son bronzage pain d'épice.
Bien ! Dit-elle en rentrant la glace est rompue entre vous. Parfaits. Je prendrais bien un apéro moi !
Quelques apéritifs plus tard, nous sommes passés à table. Le repas copieusement arrosé nous mis tous de bonne humeur de sorte que, arrivé au désert nous étions passablement éméchés. Emy n'avait manifestement pas l'habitude de l'alcool. Elle riait sans retenu et oscillée dangereusement sur sa chaise depuis un moment. Je racontais je ne sais plus qu'elle plaisanterie au moment ou le dessert arriva dans les mains d'Isabelle. Emy éclatât de rire et tomba de son siège sur ses fesses. Elle était maintenant assise par terre, en appuis sur ses bras, les jambes tendus devant elle, largement écartées sa mini jupe remontée jusqu'au nombril dévoilant une petite culotte blanche, ornée de dentelle du plus bel effet.
Stop ! Stop ! Arrêtaient de me faire rire dit-elle entre deux hoquets sinon je vais pisser dans ma culotte.
Carole prenant la balle au bond dit. Pas chiche !
Emy répliqua aussitôt en pouffant de rire
Tu me connais mal Carole tu vas voir si je suis pas chiche ! A notre grande stupéfaction, nous vîmes apparaître entre ses cuisses une large mare qui s'étendit devant elle canalisée par ses deux jambes noires. Il y eut un instant de silence stupéfait puis riant aux éclats nous applaudîmes l'exploit.
Elle se relevât sans avoir finis ce qu'elle avait si bien commencé. Sa culotte devenue transparente nous révélât une toison pubienne aussi frisée que ses cheveux. Ses jambes étaient aussi trempée que ses fesses. Face à nous, tenant sa mini jupe en l'air à deux mains, cuisses écartées, regard fier et provoquant, elle acheva en nous regardant tour à tour la tâche qu'elle n'avait pas menée à bien sur le sol.
Alors je ne suis pas chiche Carole ? Dit-elle avec un énorme sourire.
Je dois admettre que j'ai eu tort dit Carole.
Isabelle ajoutât à cet instant son grain de sel. Emy a gagné Carole. Tu dois payer tribu maintenant.
Ah ! oui dit Emy tu dois avoir un gage
Bon d'accord dit Carole qui me le donne ce gage ?
Isabelle me proposa en tant que seul garçon et les autres acceptèrent.
Attention les filles réfléchissaient bien avant de me laisser choisir j'ai une imagination sans limite !
Non, non vas y choisis confirmèrent Emy et Isabelle. Je m'accordais pour réfléchir le temps qu'Emy prenne une douche. Un silence admiratif l'accueillit à son retour. Elle était maintenant vêtue seulement d'un string de plage bleu fluo qu'Isabelle lui avait prêté, ses seins dur et rond pointaient fièrement en avant. Sa peau d'ébène, luisait sous l'effet conjugué de la lumière électrique et de l'huile dont elle avait oint son corps. Sa démarche souple et féline la faisait ressembler à une bête sauvage. Devant nos regards enflammés elle marqua un temps d'arrêt puis en souriant, elle fit une gracieuse révérence en disant.
Merci de cet accueil gente dames et gens damoiseaux.
Nous éclatâmes de rire devant son attitude et on l'applaudit de nouveau.
Alors me demandât-elle, que propose-tu comme gage ?
Hé bien voilà, je condamne Carole à se raser les poils du sexe devant nous dis-je avec le sérieux d'un juge annonçant une lourde peine de prison.
Les filles marquèrent un instant de silence puis Emy et Isa écroulées de rire approuvèrent mon idée tandis que Carole protestait avec véhémence.
Non, non je ne veux pas faire çà.
Emy et Isa la huèrent de concert. Carole devant les quolibets de ses deux copines, finis par sourire et acceptât finalement en bonne joueuse de faire ce qui lui était demandé.
Isabelle partie vers la salle de bain pour en ramener les instruments de torture, un rasoir, un blaireau et de la mousse à raser ainsi que de la crème adoucissante. Pendant ce temps nous allâmes au salon. Emy me précédant, j'en profitais pour observer sa croupe rebondie qui ondulée devant moi, bien mise en évidence dans sa nudité par le bleu fluo du string qui disparaissait entre ses fesses comme s'il avait été mangé par elles. Je m'assis par terre le dos au canapé, Emy à ma gauche. Carole allât vers la chaîne stéréo et mis un disque de slows puis elle diminuât l'éclairage de la pièce. Isabelle après avoir déposer sur la table basse en verre du salon les accessoires nécessaires pour l'opération qui allé suivre nous avait rejoint et s'assit à ma droite tout contre moi. J'en profitais pour mettre mon bras droit autour de son cou, ma main pendante juste à la hauteur de son sein. Nous fîmes silence pour observer le spectacle. Carole se mit à onduler langoureusement au son de la musique, devant nous. Après quelques instants, elle entreprit de nous faire un strip-tease en règle. Elle défit lentement le nœud du cordon qui retenait le haut de son ensemble et toujours en dansant, elle le laissât glisser. Elle pivotât sur elle-même et offrit à nos regards enfiévrés sa poitrine opulente et nue. On applaudit vigoureusement pour l'encourager. Elle dénouât ensuite son chignon et tournant la tête rapidement en tout sens elle laissât sa chevelure flamboyante encadrer son visage maintenant souriant. Complètement excité par le spectacle, Emy Isa et moi nous l'encourageâmes de plus belle. Carole se pris alors à son propre jeu. Elle ondulât lascivement de plus belle, le visage habillé d'un sourire façon pin-up de magazine. Elle nous tournât le dos, d'un mouvement de groupe sinueux. En s'aidant de ses mains, elle fit descendre le bas de son vêtement nous révélant une splendide mini culotte de satin rose. Elle nous fit encore patienter un moment tout en dansant la mine aguichante. La tension monta d'un cran supplémentaire quand elle commençât à se passer les mains sur tout le corps d'une manière provocante. Enfin, quand nous fûmes tous au comble de l'excitation, elle descendit progressivement sa petite culotte nous révélant ainsi une toison pubienne très fournie et aussi rousse que sa chevelure. Totalement nue devant nous, elle s'assit insensiblement sur le bord de la table du salon les cuisses largement ouvertes, face à nous sans aucune pudeur nous révélant ainsi les secrets de sa rousse intimité. Elle prit ensuite le blaireau délicatement dans sa main droite et après l'avoir trempé savamment dans le bol de savon à barbe elle s'enduisit le sexe de l'onctueuse mousse à raser par couche successivement tournant et retournant les poils rugueux de l'objet sur une surface qui allât rapidement en s'amenuisant autour de l'emplacement de son clitoris. Progressivement, elle dût ressentir du plaisir à se frictionner de la sorte le minou car a notre grande surprise, elle entreprît s'en aucune gêne de se donner du plaisir en frottant de plus en plus rapidement l'engin sur cette partie hyper sensible de son anatomie tandis que de sa main libre, elle se flattait le bout d'un sein. Je sentis la main d'Isa venir se poser entre mes cuisses sur mon sexe tout raide d'excitation. Je tournais la tête dans sa direction. Elle avait mis son autre main sur son sein et se le titillé en suivant la même cadence que Carole. En regardant de l'autre coté, je vis Emy comme pétrifié. Elle regardait sa copine Carole sans faire un seul geste le regard comme halluciné la bouche ouverte. Celle ci, atteint l'orgasme, et en gémissante de plaisir, elle acheva de se faire du bien. Ayant récupérée quelque peu, elle ramassât enfin le rasoir, et entrepris d'ôter en une série de petits coups précis, sa toison pubienne. Elle se rinça ensuite abondamment avec l'eau restante dans la carafe que nous avions utilisés pour l'apéritif. Enfin elle se passât de la crème Nivéa sur l'emplacement ou quelques minutes auparavant existé encore une dense jungle de poils. Quand se fut achever, elle nous sourit très fière d'avoir réussit à nous captiver aussi longtemps. Nous l'avons bien évidemment congratulé pour le spectacle qu'elle venait de nous offrir. Elle s'assit finalement avec grâce en tailleur par terre face à nous sans songer à se vêtir tant elle paraissait se sentir bien. Je pouvais voir maintenant distinctement son clitoris et le début de ses lèvres comme mis en relief par la blancheur et la nudité exagérée de sa peau maintenant et pour quelques jours glabre de tous poils.
Je me levais et suivis d'Isabelle, nous allâmes chercher dans la cuisine des digestifs et des verres. A notre retour, Emy et Carole étaient en grande discussion, à mi-voie. Elles s'interrompirent à notre entrée. Je servis les dames généreusement d'un délicieux Porto. Ensuite je rejoins Isabelle à la place que j'occupais précédemment. Nous bûmes à la santé d'Emy et de Carole qui nous avaient régalés l'une après l'autre. Emy après un coup d'œil complice en direction de Carole, nous adressât ensuite la parole en ses termes.
Cette soirée et vraiment unique, je me sens si bien. Carole et moi nous avons fais des choses pas banales tout à l'heure. Je me demande si c'est l'alcool ou l'atmosphère de cette chaude nuit d'été, mais, j'y ai pris un grand plaisir. Avec Carole, tout à l'heure, nous nous disions que cela serait maintenant vraiment sympa qu'Isabelle et toi François vous fassiez quelque chose de pas ordinaire l'un après l'autre ou ensemble pourquoi pas ?
Il y eut un moment de silence puis Isabelle tourna la tête vers moi et en approchant sa bouche de mon oreille elle me dit dans un souffle
François j'ai envie de faire l'amour avec toi. Prend moi ! !
Je restais sans voix pendant un instant. Je la regardais et vis dans ses yeux qu'elle était sérieuse et avait vraiment l'intention de le faire.
Approchant à mon tour ma bouche contre son oreille, je lui dis
Tu es sûre de ce que tu me demande ? Tu ne le regretteras pas après ?
Oui je te veux vraiment, viens !
Je me mis debout et l'aidé à se relever. Au son d'un slow langoureux, je l'enlaçais tendrement. Elle posât sa tête contre ma poitrine, mis ses bras autour du cou et me serrât contre elle. Je sentais son corps frémir contre le mien. Nous dansâmes pendant de longues minutes, les yeux clos, ayant oubliés la présence d'Emy et de Carole. Tout en dansant, elle défit lentement les boutons de ma chemise un à un puis me retirât le vêtement. Je défis à mon tour dans son dos la fermeture éclair de sa robe et la fis glisser sur ses épaules. Elle tombât à ses pieds avec un bruissement léger formant sur le sol un petit tas soyeux. Je sentais maintenant sa poitrine nue et chaude qui s'écrasait contre mon torse. J'ouvris les yeux et vis Emy et Carole qui nous regardaient attentivement en souriant. Elle s'écartât de moi un peu et entrepris de me délester de mon pantalon. Nous étions maintenant en culotte tous les deux étroitement enlacés. Son ventre frottant contre le mien au gré des mouvements de danse, me provoquât une érection que mon sous-vêtement avait du mal à contenir. Petit à petit, elle se laissât glissée le long de mon corps, en m'embrassant tout le long de sa descente. Une fois à genoux devant moi, elle retirât le dernier morceau de tissu couvrant ma nudité et prenant mon sexe tendu de désir dans sa bouche, elle commençât à me donner du plaisir. Sa langue agile tournoyait autour de mon gland me provoquant de délicieux frissons le long de la moelle épinière. Je lui caressais les cheveux avec tendresse et profitais pleinement du bonheur qu 'elle me procurait à l'aide de sa bouche. Je réussis à entrouvrir les yeux un bref instant et vis que Carole et Emy ne restaient pas inactive. Chacune d'elles, se prodiguaient doucement des caresses en regardant le spectacle que nous leur offrions. Sentant venir le moment de non-retour, j'écartais doucement Isabelle de moi et après l'avoir relever, je la dirigeais vers le canapé. Une fois assise au milieu de celui-ci, je me mis à mon tour à genoux devant elle. Mes mains de part et d'autre de ses hanches j'entrepris de faire glisser sa petite culotte tout en lui prodiguant avec ma bouche de nombreux baisés le long de ses cuisses. Emy vint s'asseoir à droite d'Isabelle et Carole à sa gauche sur le canapé. Ma bouche vint à la rencontre des lèvres pubienne d'Isa, les enfermant dans un doux piège tendis que mes mains remontant le long de son corps, prenaient possession de ses seins dont les pointes étaient déjà raides de désir. Ma langue, faisait un ballet infernal autour de son clitoris tendis que mes doigts tournaient ses tétons comme s'il eut s'agit de bouton de radio. En peu de temps je sentis à la tension de son corps et aux gémissements qu'elle poussait, qu'elle allait explosée. Juste avant la seconde fatidique, j'arrêtais toutes mes caresses et elle retombât dans un râle. Je repris mon petit manège doucement d'abord puis de plus en plus vite l'amenant de nouveau au seuil de la jouissance. A l'instant ou elle allait de nouveau s'envoler, je m'interrompis provocant un cri de déception. Je perdurais dans ce petit jeux jusqu'au moment ou sentant son sexe complètement inondé par sa liqueur féminine, je lui permis de jouir à fond décuplant par le fait la sensation. Elle râlât en continu pendant de nombreuses secondes le corps tétanisait tremblant sous les assauts d'une jouissance qu'elle ne pouvait plus contenir. Emy à cette vue avait repoussée sur le côté son string dévoilant à mon regard son sexe sombre s'ouvrant sur des profondeurs roses et luisantes. Elle entrepris de frotter sauvagement son joli petit puits d'amour pour rejoindre Carole et Isabelle dans leur monde de plaisir. Une odeur de sueur et de sécrétion féminine envahie le canapé me rendant fou de désir. Interrompant mon travail buccal, je me redressais et rapidement soulevant ses jambes avec mes épaules, je pénétrais Isabelle qui m'accueillit avec un cri de bonheur. Je la besognais en mouvement violent et profond ma course n'étant arrêtée que par son os pubien. Nos deux voisines continuaient à s'adonner à leur plaisir solitaire en nous regardant quand elles pouvaient ouvrir les yeux. Soudain Isabelle d'une voie rauque entrecoupée de gémissement me dît.
Arrête, arrête François je t'en supplie je peu plus non arrête.
J'obtempérais à regret. Pourquoi je te fais mal ?
Non mais tu me tape tellement fort que sa me donne envie d'aller faire pipi. Je me retirais doucement.
Vas y fait dis-je d'un ton péremptoire
Maintenant ! Ici ?
Oui là tout de suite !
A ses mots Emy et Carole nous regardèrent avec stupéfaction. Isa se concentrât longuement puis commençât à faire ce que je venais de lui demander.
Le jet chaud jaillit d'entre ses cuisses frappant violemment mon gland turgescent me provoquant comme une décharge électrique. Les deux autres filles contemplaient la bouche béante les yeux exorbités le spectacle. Le liquide brûlant inondant mon sexe, l'odeur, l'étrangeté de la situation, firent qu'en un instant je me transformais en un véritable animal perdant momentanément toute trace de civilisation. Sans attendre qu'elle finisse, je l'embrochais d'un coup, à fond, coupant net le flot. Sous cet assaut inattendu, elle poussât un hurlement, son corps s'arc-boutât violemment, ses ongles griffèrent le canapé, ses yeux se révulsèrent et elle se mit à jouir s'en discontinuer tandis que je la prenais comme une bête fauve. Rapidement je perdit la maîtrise de mon désir et j'éclatais en elle en criant de plaisir. Comme un pantin dont on vient de couper les cordes, je m'abattis fauché par la terrible jouissance qui m'avait emporté. Nous restâmes l'un sur l'autre sans bouger essayant de récupérer quelques forces pendant de nombreuses minutes. Je sentis enfin sa main qui me caressé la nuque tendrement. Péniblement je me redressais sur mes coudes et vis à son regard qu'elle était comblée.
C'était fabuleux tu sais, je n'avais rien éprouvé de tel avant lui dis-je en souriant.
Moi non plus je n'avais jamais pris un tel pied.
Emy et Carole quant à elles nous regardaient en souriant sans rien dire. Isa et moi sommes allés ensuite prendre une douche brûlante. Je la frottais d'abondance et elle me rendait la pareille sous les cascades d'eau qui ruisselées sur nos corps fatigués de plaisir.
Nous étions en train de nous sécher quand la porte de la salle de bain s'ouvrit. Emy et Carole firent leur apparition.
Alors les amoureux s'était bon ? dit Emy
Avec un clin d'œil complice Carole répondit à notre place
Oh oui tout était bon ! Pas la peine de le demander, leurs cris de plaisir et une réponse suffisante.
Nous éclatâmes de rire en cœur.
Carole rentra dans la cabine de douche Emy retirât son string et la rejoignit sous l'eau. Isa et moi assit par terre sur la serviette humide entièrement nus, nous tenant par la main, regardions ces corps d'ébène et d'albâtre se laver mutuellement en riant.
Une fois tout le monde sec, nous avons fini cette mémorable nuit blanche tous les quatre, entièrement nus, sur la terrasse couchés sur des coussins de mousse. Après avoir assister au lever du soleil nous sommes rentrés pour dormir et avons ainsi passé la journée complète du lendemain.
François
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