3ème XP : pauvre petite malade... le récit complet



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Posted by Léa on April 10, 2004 at 04:17 [82.255.130.174]


Aujourd’hui petite forme… ma gorge m’a tiraillée toute la nuit… mes muscles sont endoloris, comme anesthésiés…
Mon après midi sera calme…
Quelques mots échangés avec toi sur Msn, confirme ma pensée première…
Pendant ta séance de sport intensive, je serai dans mon lit, ambiance feutrée, gros coussins, tisane chaude, bas de survêtement noir, et… couche…
Ce sera ma première expérience « plastique » sur toute une après-midi…

Je suis donc une pauvre petite malade… au fond de son lit…
Ce scénario s’impose de lui même cette fois… mais ça ne me déplaît pas… je vais pouvoir me laisser aller… et me relaxer…

Tu t’excites à savoir que je pourrais assouvir tes fantasmes sans toi… et me demande l’autorisation de passer si jamais….
Je verrai… envoie un texto… quand tu auras fini de te faire souffrir… pendant que moi je me fais du bien…

Je m’installe confortablement dans mes draps rouges, un gros coussin sous la tête… ma tasse de thé fumante posée sur ma table, je bascule mon bassin… me retrouve en appui sur mes épaules…
Je baisse doucement mon pantalon de coton noir… n’importe qui pourrait alors me prendre… je suis dans une position idéale… mais personne n’est là…
Je glisse le coton plastifié sous mes fesses… et rebascule mon bassin vers le bas… méthodiquement je rabat les côtés, j’ajuste… je remonte mon survêtement…

Une vague de chaleur m’enserre le bassin… c’est divin… mes frissons sont stoppés net… deux mains d’homme chaudes, et tendres me plaquent à l’avant et à l’arrière, c’est la sensation que cela me fait…

Télé allumée… je ne pense pour l’instant à rien… légèrement relevée, je peux voir ma poitrine qui se gonfle et se rabaisse doucement… des vapeurs de cannelle et d’orange provenant de ma tasse, parviennent jusqu’à mon petit nez… j’adore cette ambiance… dehors le vent se déchaîne, malmène les arbres et les buissons, comme s’il voulait rentrer dans la chambre à l’atmosphère diamétralement opposée…

Je bois quelques gorgées… l’eau aromatisée me brûle la langue et la gorge… j’avale doucement… je repose ma tasse et me rallonge…

Chaque léger mouvement de mon bassin, fait frotter le coton de ma « prison » contre mon sexe… c’est chaud, comme un cocon…

Le papillon est enfermé, prisonnier… mais pas tout à fait pour toujours…

Mon excitation monte… je pense à toi en train de t’activer et moi, au contraire, lascive et calme… ma main droite à des envies baladeuses…. Et soulève mon pull beige, puis entre dans mon bas de survêtement… mon ventre est chaud… ma main continue doucement son chemin… mes ongles s’enfoncent légèrement sous mon nombril, je rentre le ventre pour la laisser passer… elle s’immisce entre ma chrysalide artificielle et ma peau… j’atteins mon but… mon bassin se tortille d’excitation… cette fois ce sera sans « jouet », le passage est trop étroit, seule ma fine main peut entrer…


Mes cuisses s’écartent… je frôle mes lèvres, mon majeur va puiser le nectar et remonte en appuyant jusqu’en haut… puis redescend encore à la source… pour remonter… je sens le plaisir arriver…
Il change maintenant de stratégie… et opère des mouvements circulaires, j’accentue la pression, je sens le plaisir arriver… la source ne tarit pas…
Ma main est plaquée par ma « prison blanche », mes mouvements ne sont pas aussi libres que si elle n’était pas fixée autour de mon bassin… mais la chaleur qu’elle procure est douce… sensuelle…
Mon autre main s’agrippe aux draps…
Je ferme les yeux et me laisse aller…et mon majeur toujours là à caresser entre les lèvres…
je ralentis le mouvement et laisse venir mes sensations, je suis à l’écoute du moindre changement, ma respiration s’accélère…

Mon ventre commence à se crisper, prémices à la jouissance…mes muscles abdominaux se durcissent… mes fesses se sont légèrement soulevées du matelas… mes yeux sont fermés, je pense à toi… à ta manière de faire glisser tes mains sous mes fesses… les soulever pour mieux m’envahir… un lent va et vient… puis une accélération… quelques mots chuchotés…
La réalité et le virtuel se mêlent… ma main toujours gênée dans ses mouvements redouble d’efforts pour ne pas faillir… le crissement du plastique malmené se fait entendre à la cadence de ma main… le bruit des bourrasques à l’extérieur vient couvrir cette « musique »… le ballet continue…
Ma main pénètre… ressort… remonte, accélère… pivote, tourne autour de la « clé »…

Mes jambes se contractent à leur tour, je ne contrôle plus ma chair…

Ton plaisir se mêle au mien en quelques images…moi accroupie face à toi.. toi, debout j’attends le moment ultime, celui ou rien ne peut te camoufler, celui ou tu te donnes entièrement… ta jouissance… y penser fait monter la mienne… je viens…

Dans un dernier spasme, je soupire, je mords ma langue… un frisson intense envahit mon bassin, mes hanches, mon antre, je tremble, ma main droite se fige… elle sait qu’il faut s’immobiliser… laisser le plaisir submerger tous les sens…tous mes muscles se détendent pour laisser place à ce raz de marée de jouissance… je suis engloutie, à la merci de n’importe qui, libérée et en même temps prisonnière, je soupire, gémis…attends, je prolonge l’instant… jusqu’au bout…

Ma main se retire en empruntant le passage étroit vers mon ventre…
Je suis vidée… épuisée par tant d’effort de manipulation et en même temps envahie d’un doux vestige de plaisir qui perdure…

Une pression gênante se fait néanmoins sentir… mon thé à l’orange aura fait son chemin…

Lasse de la lutte sensuelle, et sereine quant à ma situation confortable, j’attends sagement… je suis fatiguée après tout, et ne veux me lever…
La pression de ma vessie s’accentue… et ma chrysalide blanche appuie un peu plus à l’endroit fatidique… je décontracte tous mes muscles… et passe ma main sur mon entrejambes… je la plaque vers le haut en comprimant le plastique…

La chaleur humide se fait sentir doucement d’abord, puis en une vague brûlante entre mes cuisses… mon sexe baigne dans la moiteur… ma main ressent également la chaleur… c’est long… mais je laisse faire… protégée, comme dédouanée de cette « bêtise » d’enfant…

Tout est humide maintenant… humide et tiède… mon intimité encore tuméfiée de plaisir est maintenant caressée par un coton trempé de mon liquide doré… j’attends un peu… que la chaleur se dissipe, je m’assois en tailleur sur mes draps… jambes écartées… l’aine titillée par le plastique et le coton mouillé… je souris… ça m’amuse… après la vilaine écolière voilà la gentille malade incapable de se lever… trop endolorie par son plaisir…

La chaleur dissipée, je reprends une nouvelle couche… renouvelle ma chorégraphie bien réglée… et après avoir passé une lingette nettoyante entre mes cuisses et mon « buisson », j’enferme à nouveau mon bassin…

Tout mon corps est détendu… le vent continue son vacarme… la télé chuchote… les bruits se font de plus en plus lointains… je m’assoupis… je bascule sur le côté, mes yeux se ferment, mes genoux remontent pour presque toucher mes seins… Morphée me kidnappe…

Sursaut… la sonnette de la porte d’entrée… mon cœur bat la chamade… réveil trop brutal, désagréable… je me retourne et ignore cet avertissement inopportun…

Sursaut à nouveau… l’intrus insiste… je me lève… chancelante… mon pantalon noir moule mes fesses… il n’y a probablement aucune équivoque sur ce que je porte en dessous…
Interphone… interrogation…. Ma voisine !
Jamais elle ne vient ici… et ce jour là précisément elle a besoin de me parler !…

J’hésite… je me regarde dans le miroir de l’entrée… j’esquisse un sourire, et appuie sur l’ouverture de la porte comme un petit diable mutin…
J’ouvre ma porte et invite ma voisine à entrer… ma démarche est légèrement gênée… je marche à reculons… tente de camoufler le bruissement que fait le plastique à chacun de mes pas par des paroles, pas toujours cohérentes…

je présente un siège à Madame P. et en prends un pour moi… ouf… je croise les jambes et entends le laïus d’une oreille distraite…

Je pense à tes récits…Tu m’as plusieurs fois dit que le faire face à une personne est une expérience étonnante… tu l’as toi même réalisé… ça m’amuse… elle est juste à 50 cm de moi…
mais je n’aurais pas ce cran… pas cette fois…
Je raccompagne cahin-caha l’intruse de l’après-midi, prétexte mon état second et mes pieds nus pour ne pas la raccompagner dans le jardin… la clarté du jour trahirait d’autant plus mes dessous décalés…

Je ferme la porte derrière elle… m’adosse à la porte… et souffle un grand coup…
Je repars vers ma chambre, et m’enfourne sous les draps à nouveau…
Il est 17h…
Je m’installe confortablement à nouveau…mais au bout de quelques minutes une nouvelle pression se fait ressentir… en bas du dos cette fois… tu n’es pas là et tu m’as demandé d’attendre… j’ignore cet « appel », contracte à fond mes muscles… et me rallonge…

Il faut que je t’attende… gentille malade au fond de son lit qui a besoin d’être dorlotée…
Les minutes s’égrènent… 18h15… toujours cette pression de plus en plus lancinante… aucune nouvelle de toi… tu devais terminer vers 18h30 et envoyer un texto…

Le voilà !… « toujours propre ? »… oui bien sûr… je suis une bonne élève… mais là ça commence à être urgent… mon état de fatigue ne me permet pas de retenir ce que Dame Nature a décidé de m’imposer… je te réponds, « oui mais pas pour longtemps… »
Tu appelles… me motive pour tenir… tu es juste à 15 minutes de chez moi… tu veux que j’attende… je promets d’essayer…
Je sens ton excitation dans ta voix… tu rappelles encore quelques minutes plus tard pour me demander le chemin le plus court pour m’atteindre, j’ai du mal à me concentrer… j’indique, me ravise… te laisse finalement prendre la route que tu veux…

Je raccroche… excitée à l’idée de ton arrivée… et désespérément tiraillée par mon envie…
18h42 : un autre appel… juste 3 minutes et tu es là…

je raccroche à nouveau… nooon… je ne peux pas… l’excitation combinée à la pression, l’envie… je n’y tiens plus… je contracte mon ventre, pense à autre chose… impossible… j’ai presque mal…
je me mets à quatre pattes sur mon lit… comme une bête… je sens le sang me chauffer les joues… mon portail est ouvert, ma porte d’entrée aussi, je sais que tu peux entrer…
je tente encore de lutter… en vain… ça vient… sans forcer… sans pousser… mes fesses s’écartent, je sens la vilaine chenille arriver… sans un bruit ma couche se remplit… la délivrance est salvatrice, je ferme les yeux, c’est bon… je soupire… mon cœur s’est accéléré, je suis toujours à quatre pattes… mes fesses sont chaudes… je pose ma main droite sur mon pantalon et je sens la chaleur… c’est impressionnant…

je t’entends courir sur le perron… tu ouvres la porte, la refermes en la claquant…
tu connais le chemin, et tu arrives dans la chambre… je me suis relevée… je suis à genoux… l’air penaud… tu comprends…
« trop tard ? » … « oui trop tard…. »

tu es moulé dans un corsaire noir… baskets aux pieds… coupe vent… tu es bien plus sexy que moi sur ce coup… moi la petite malade en survêtement noir… qui sent probablement la petite fille qui se néglige…

tu t’approches… excité… tu plaques ta main sur mes fesses… mmmmmm, tu me sermonnes… « qu’est ce que tu as fait ? » je dois répondre… je suis dos à toi… tu touches… tu vérifies… tu me retournes et m’embrasse goulûment… ton corsaire se déforme à l’entrejambes… tu me demandes de m’accroupir à terre… je m’exécute… tu sors ton sexe gonflé de plaisir… j’attrape tes fesses en encerclant ton bassin et rapproche mon visage de ta main qui commence ses va et vient sur le mât bien dressé…

Tu me reparles de ma « bêtise », je m’excuse de n’avoir pu attendre… je sens le plaisir monter en toi… je déclenche aussi…
quelques coups de langue… un coup d’œil vers le haut pour te voir… je voudrais te prendre en bouche… mais tu en décides autrement…

« à 4 pattes, sur le lit »… je remonte… « je veux voir »… j’hésite… et m’exécute à nouveau… mes fesses enserrée de plastique blanc sont à ta merci, tu appuies sur mon dos, pour que je pose mes mains sur le lit et continue de te branler frénétiquement sur moi… tu annones quelques mots, que je ne comprends pas… j’adore… je sens ton plaisir monter…

« Viens… accroupis toi à nouveau… plus bas… »…. Tu vibres… tu sursautes… tes mots sont saccadés par tes mouvements rageurs…
Je glisse mes deux genoux entre tes jambes… tu es debout et moi accroupie légèrement en arrière… en receveuse… je caresse tes cuisses, je passe en remontant sous le coupe vent… je n’empêche pas ta main d’agir sur ton plaisir… tu fermes les yeux par intermittence…

« je vais jouir… » la phrase ultime… je te regarde, tu aimes… tu vas venir, et je suis là… dernier soubresaut… et voilà le nectar blanc qui jaillit… mon pull beige est maculé… plusieurs jets… j’approche ma figure… j’en prends partout… c’est sucré… tu souffles, tu râles… la pression retombe… je prends ton sexe dans ma main à plat… en faisant attention de ne pas le serrer… je le fais glisser doucement deux dernières fois à plat dans ma main… ta semence envahit mes doigts… j’approche ma bouche et passe ma langue sur ton gland… une dernière fois… tu expires à nouveau… tu souffles pour faire redescendre la pression… un clin d’œil… et te voilà reparti…




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